French Word - English Word - Nicolas de Staël - Les Toits, 1952 -"Sky over Dieppe" - Musée National d' Art Moderne CENTRE POMPIDOU
Nicolas de Staël
1914, Saint-Pétersbourg (Russie, alors Empire russe) - 1955, Antibes (France)
Les Toits, 1952
Huile sur toile
Don de l'artiste à l'Etat, 1952; attribution, 1952
AM 3159 P
« Toujours, il y a toujours un sujet, toujours. » (Staël)
Mentionnée d'abord par l'artiste comme « Ciel de Dieppe», Les Toits ouvre la série Les Murs. Apès les grandes compositions abstraites de 1949-1950, la peinture de Nicolas de Staël s'oriente progressivement vers certains caractères identifiables de la réalité.
Ayant comme seule exigence la « peinture», l'artiste considère le débat abstraction / figuration hors de propos. La partie supérieure est un pur morceau de peinture modulé de nuances de blancs, gris et beiges, surmonté d'un mur de tesselles à la pâte épaisse.
Elle en est séparée par une ligne qui peut aussi se voir comme un horizon.
"Always, there is always a subject, always." (Staël)
First referred to by the artist as "Sky over Dieppe". The Roofs opens the series entitled The Walls. Following on from the great abstract compositions of 1949-1950, Nicolas de Staël's painting turned progressively toward certain recognizable features of reality. While "painting" was his only requisite, the artist considered the abstract/figuration debate to be irrelevant.
The upper part is a pure piece of painting modulated with nuances of whites, greys and beiges, mounted on a wall of thick-paste tesserae. It is separated
1914, Saint-Pétersbourg (Russie, alors Empire russe) - 1955, Antibes (France)
Les Toits, 1952
Huile sur toile
Don de l'artiste à l'Etat, 1952; attribution, 1952
AM 3159 P
« Toujours, il y a toujours un sujet, toujours. » (Staël)
Mentionnée d'abord par l'artiste comme « Ciel de Dieppe», Les Toits ouvre la série Les Murs. Apès les grandes compositions abstraites de 1949-1950, la peinture de Nicolas de Staël s'oriente progressivement vers certains caractères identifiables de la réalité.
Ayant comme seule exigence la « peinture», l'artiste considère le débat abstraction / figuration hors de propos. La partie supérieure est un pur morceau de peinture modulé de nuances de blancs, gris et beiges, surmonté d'un mur de tesselles à la pâte épaisse.
Elle en est séparée par une ligne qui peut aussi se voir comme un horizon.
"Always, there is always a subject, always." (Staël)
First referred to by the artist as "Sky over Dieppe". The Roofs opens the series entitled The Walls. Following on from the great abstract compositions of 1949-1950, Nicolas de Staël's painting turned progressively toward certain recognizable features of reality. While "painting" was his only requisite, the artist considered the abstract/figuration debate to be irrelevant.
The upper part is a pure piece of painting modulated with nuances of whites, greys and beiges, mounted on a wall of thick-paste tesserae. It is separated
https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/yBdbYfS
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