Ainsi Parlait l' Art. L' Art Universel

Cie Ellipsea p résente "Person ne n'est PESSOA" cirque et poésie au fil du Soi écrit par Nico Pires" avec Leo Calvino, Solène Martins, Bruno Sousa & Nico Pires À PROPOS Dans « Personne n’est Pessoa », la Cie Ellipsea rend hommage au parcours du célèbre et énigmatique poète portugais Fernando Pessoa à l’œuvre monumentale. Les figures de style, rimées ou jonglées, se cherchent, se perdent, s’entrechoquent, pour parfois réussir  à articuler quelques rêves, quelques doutes et une farandole d’émotions. Création introspective tout d’abord initiée en solo par Nico Pires, « Personne n’est Pessoa » a depuis pris une tournure collective, à la croisée de plusieurs trajectoires artistiques ayant en commun la lusophonie,  le nouveau cirque et la poésie. S’appuyant sur leurs agrès de circassiens (diabolo, acrobatie, balle de contact), les 4 artistes de la Cie Ellipsea nous embarquent au fil des mots et des mouvements qui les traversent, soufflés ici en musique,  à capella, ave...

"Voilà maintenant 7 ans que je porte ce projet de théâtre musical, consacré à l’histoire de l’Olympia,  ce Music-Hall parisien de légende. Le point de départ et l’inspiration de ce spectacle ont été mon envie de mettre en lumière le travail  de Jean-Michel Boris, avec qui j’ai eu l’honneur de partager un lien d’amitié privilégié. Je me suis alors énormément documenté autour des histoires qui ont peuplées l’Olympia.  Suite à ce travail d’investigations et d’échanges avec l’ancien directeur artistique,  ainsi qu’avec Patrick Ullmann, qui fut durant près de 30 ans le photographe officiel,  le projet voit le jour sur papier. Aujourd’hui, grâce au travail de mise en scène de Laurent Malot, le personnage de Stanislas,  que j’ai le plaisir d’interpréter, livre un véritable spectacle mêlant anecdotes et chansons qui ont forgées  le mythe de l’Olympia". Tito Clément Auteur Chanteur Comédien Ainsi Parlait l' Art. L' Art Universel. L' Art Sacré. L' Art Singulier,...

"Voilà maintenant 7 ans que je porte ce projet de théâtre musical, consacré à l’histoire de l’Olympia,  ce Music-Hall parisien de légende. Le point de départ et l’inspiration de ce spectacle ont été mon envie de mettre en lumière le travail  de Jean-Michel Boris, avec qui j’ai eu l’honneur de partager un lien d’amitié privilégié. Je me suis alors énormément documenté autour des histoires qui ont peuplées l’Olympia.  Suite à ce travail d’investigations et d’échanges avec l’ancien directeur artistique,  ainsi qu’avec Patrick Ullmann, qui fut durant près de 30 ans le photographe officiel,  le projet voit le jour sur papier. Aujourd’hui, grâce au travail de mise en scène de Laurent Malot, le personnage de Stanislas,  que j’ai le plaisir d’interpréter, livre un véritable spectacle mêlant anecdotes et chansons qui ont forgées  le mythe de l’Olympia". Tito Clément Auteur Chanteur Comédien https://ainsiparlaitlart.blogspot.com/2025/07/memoires-de-l-olympia-the...

MÉMOIRE(S) DE L’OLYMPIA  du 11/07/25 au 31/08/25 Le mythe de l’Olympia dévoilé en anecdotes et en chansons. En ce jeudi 13 novembre 1997, on inaugure le «nouvel Olympia» après 7 mois de travaux.  Cependant, la servante a disparu. Cette lumière sur pied qui reste allumée et veille sur la salle lorsqu’elle est désertée. Depuis son atelier dans le sous-sol, Stanislas, l’agent de maintenance depuis 1954, témoin de l’ombre, entreprend d’en fabriquer une nouvelle.  Tout en confectionnant l’objet symbolique, il lui transmet l’histoire de l’Olympia en revivant ses grandes heures. De Tito Clément, mise en scène Laurent Malot, avec Tito Clément, Bernard Menu et François Bernat, création lumières Joël Legagneur, production compagnie Life Live. Durée 1h20. LE FUNAMBULE Théâtre Montmartre 53, rue des Saules, Paris 75018. Métro 4 et 12 www.funambule-montmartre.com / 01.42.23.88.83 Histoire de Paris L'Olympia En 1888, Joseph Oller, fondateur du Moulin-Rouge, installa à cet emplacement d...

Il faut saluer la performance de François Cluzet. Il mouille sa chemise, ça se voit.  Seul en scène, pour un prix peut-être. Dans ce huis-clos, l'acteur performe. Excellent jeu de comédien dans le changement d'énergie au gré du rythme de l'évolution de la pièce de théâtre.  Le décors est sobre, une chambre d'un hôpital psychiatrique, un lit. Lorsque j' écrivais mon argumentaire d'  "Encore une journée difficile". Non, pas ça!  Difficile au lieu de divine" , lapsus révélateur, me direz-vous, mais argument exact. Le texte nous plombe en partie, il alourdit l'atmosphère, la compréhension, en somme, un texte peu accessible, mais, il y a la présence de François Cluzet.  Gérard POCQUET Résumé : Thérapeute et essayiste, Robert ne supportait plus de voir ses patients stagner, il a décidé  de changer de méthode. Assez de réflexion et d’introspection, place à l’action !  Interné dans un hôpital psychiatrique, il raconte son ambition de changer le monde....

LA SOURISERIE INFINI NOUVELLE VERSION DE YELLOW STAR COMPANY Par Nicolás Isasi @isasi.nick La souricière est dangereuse, mais elle se présente doucement comme une pièce fermée invitant  tout le monde à entrer. Créée par la brillante romancière britannique Agatha Christie (1890-1976),  La Souricière est considérée comme la pièce la plus jouée de l'histoire du théâtre contemporain. L'adaptation portugaise fonctionne rapidement et de manière crédible pour nous transporter  vers les mystères cachés magistralement présentés par Christie dans son texte classique.  La pièce se déroule dans la grande salle de Monkswell Manor dans le Berkshire, à la périphérie  de Londres, ancrée dans un présent du milieu du XXe siècle, selon la description de Christie  lorsqu'elle l'a adaptée d'une courte pièce intitulée Three Blind Mice, où un épisode macabre se déroule également dans une maison avec plusieurs personnages. L'histoire raconte l'histoire d'un couple qui a transfo...

MIKOLAJ NICOLÁS ISASI Mise en Scène & Scénographe ÓPERA HÄNDEL "ACIS E GALATEA"  FUNDACÄO DA CASA DE MATEUS  https://ainsiparlaitlart.blogspot.com MIKOLAJ NICOLÁS ISASI Mise en Scène & Scénographe Photo Ana PAGANINI LES ÉLÉMENTS ET L'ÉTHER Nicolas Isas i Le processus de création de cette mise en scène remonte à la Grèce antique dans une sorte de conte  de fées, comme les belles images d'Eyvind Earle, aujourd'hui dans la terre d'origine des mythes.  Ces œuvres inspirées de grand style telles que la Métamorphose d'Ovide, où la transformation se produit par les mains et les pouvoirs d'une nymphe, Galatée ; qui élève son bien-aimé Acis vers l'éternité des eaux, effaçant de l'espace qui l'entoure son histoire d'amour avec le sinistre Polyphème.  La mythologie survit et la littérature actualise des thèmes classiques antiques : la dualité du monde  entre le divin et le terrestre, ici représentée spatialement dans une scénographie avec ...

Emmanuel Mané-Katz - Extase 1936 - mahJ Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Le Dibbouk à Paris Emmanuel Mané-Katz (1894-1962) Extase 1936 Huile sur toile Paris, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle, achat de l'État  en 1937 Mané-Katz passe sa jeunesse dans une atmosphère de religiosité qui nourrira son œuvre. S'affirmant comme le peintre de la culture yiddish, l'artiste représente ici trois hassidim qui cherchent à travers le chant et la prière la communion joyeuse avec Dieu et l'extase. Cette œuvre est entrée dans les collections publiques en 1937, année au cours de laquelle la troupe Habima joue Le Dibbouk à Paris à l'occasion de l'Exposition internationale. Son acquisition démontre l'intérêt porté par les musées au monde juif. Paris 1926 la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.co...

Paris 1926 la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Le Dibbouk à Paris À Paris, en 1926, la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine.  L'année suivante, la pièce est traduite en français, avec une préface d'Edmond Fleg, puis montée  par Gaston Baty au Studio des Champs-Élysées en 1928. Cette adaptation française est reprise avec succès en 1930 au théâtre Montparnasse. Antonin Artaud, qui découvre l'œuvre, note: « Dans une scène extraordinaire, [Léal parle avec la voix même de l'homme qui réclame ce qui lui a été destiné, c'est-à-dire la femme, c'est-à-dire elle-même I...! La voix avec laquelle cet être revendiquait son bien est l'une des choses les plus terribles que j'ai entendues.» En 1937, à l'occasion de l'Exposition internationale, Habima revient jouer à guichets fermés, à la Salle Pleyel. La troupe, installée à Tel-Aviv depuis 1928...