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Christian Boltanski - Les Habitants de l'hôtel de Saint-Aignan en 1939 - mahl Musée d' art et d'histoire du Judaïsme Paris

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Christian Boltanski - Les Habitants de l'hôtel de Saint-Aignan en 1939 Crédits photo : Gérard Pocquet   https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Christian Boltanski (Paris, 1944) Les Habitants de l'hôtel de Saint-Aignan en 1939 Paris, 1998 Don de l'artiste, 1998 mahJ 98.47.001 Christian Boltanski (Paris, 1944) Les Habitants de l'hôtel de Saint-Aignan en 1939 Paris, 1998 En charge de la préfiguration du mahJ, Laurence Sigal, fondatrice et première directrice du mahJ, demande à Christian Boltanski la création d'une œuvre pour le musée. De ce dialogue naîtront Les Habitants de l'hôtel de Saint-Aignan en 1939. Installée dans cette discrète arrière-cour, l'œuvre rappelle une histoire que la restauration de l'hôtel a effacée: celle de la présence dans ce lieu, jusqu'aux années 1960, de modestes artisans (casquettiers, chapeliers, tailleurs, fourreurs...), juifs pour la plupart, dont beaucoup sont morts dans la Shoah. Boltanski choisit de rendre à l'hôtel ...

Ainsi parlait l' affiche "Le Dibbouk Fantôme d'un monde disparu" Exposition Paris mahl Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Hanna Rovina joue Léa dans la pièce Dibbouk de la compagnie Habima. Berlin, 1926. https://ainsiparlaitlart.blogspot.com La palette de couleurs est dominée par le bleu, créant une atmosphère mystérieuse  et un peu inquiétante. Le contraste entre le blanc éclatant des mains et du visage et le fond sombre renforce l’aspect dramatique de l'image. La composition centrée attire immédiatement l'attention sur le personnage principal. L'expression du visage et la gestuelle des mains suggèrent une grande émotion, probablement la peur, l'angoisse ou une grande détresse. L'éclairage accentue les traits du visage, ajoutant une dimension théâtrale. Elle exploite la peur primordiale de l'inconnu et de la possession spirituelle. Une telle image pourrait activer le système limbique du cerveau, responsable des émotions, en particulier l'amygdale, qui traite les réactions à la peur et à l'anxiété. Le sujet du "Dibbouk" renvoie à des mythes issus de la culture j...

Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - Exposition Paris mahl Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Moses Lilien Ephraim, illustration pour Die Bücher der Bibel (Les livres de la Bible), Braunschweig, George Westermann, 1909.    Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu Crédits photo : Gérard Pocquet https://ainsiparlaitlart.blogspot.com L’exposition du Dibbouk. Le fantôme disparu, renvoie à des mythes issus de la culture juive. De par cet événement, le Musée d’ Art et de l’ histoire du Judaisme nous offre une visite étonante où foisonnent des œuvres magistrales, en autres Marc Chagall. Le chemin qui nous est proposé est celui de la légende, de rituel, et « du refoulé » mettant en scène par la peinture, la sculpture, le théâtre, la littérature et le cinéma, un esprit errant qui possède les vivants. Cela reflète les croyances culturelles et spirituelles, ainsi que les préoccupations sociétales liées à l'au-delà et à l'âme. "Je vous invite à découvrir ces œuvres d’art fascinantes en consultant  les posts futurs qui seront diffusés sur le blog ...