Ainsi parlait l' affiche "Le Dibbouk Fantôme d'un monde disparu" Exposition Paris mahl Musée d' art et d'histoire du Judaïsme
Hanna Rovina joue Léa dans la pièce Dibbouk de la compagnie Habima. Berlin, 1926. https://ainsiparlaitlart.blogspot.com La palette de couleurs est dominée par le bleu, créant une atmosphère mystérieuse et un peu inquiétante. Le contraste entre le blanc éclatant des mains et du visage et le fond sombre renforce l’aspect dramatique de l'image. La composition centrée attire immédiatement l'attention sur le personnage principal. L'expression du visage et la gestuelle des mains suggèrent une grande émotion, probablement la peur, l'angoisse ou une grande détresse. L'éclairage accentue les traits du visage, ajoutant une dimension théâtrale. Elle exploite la peur primordiale de l'inconnu et de la possession spirituelle. Une telle image pourrait activer le système limbique du cerveau, responsable des émotions, en particulier l'amygdale, qui traite les réactions à la peur et à l'anxiété. Le sujet du "Dibbouk" renvoie à des mythes issus de la culture j...