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Issachar Ber Ryback - La Vieille femme et la chèvre, 1918-1923 - Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - mahJ Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Issachar Ber Ryback  - La Vieille femme et la chèvre, 1918-1923 -mahJ   https://ainsiparlaitlart.blogspot.com I ssachar Ber Ryback (Elizabethgrad, 1897 - Paris, 1935) La Vieille femme et la chèvre, 1918-1923 Huile sur toile L'artiste place au centre de sa composition une femme pensive le menton appuyé sur sa main gauche et une chèvre. Cet animal appartient au bestiaire des chansons populaires et des contes en yiddish. Si Ryback puise son inspiration dans la culture juive traditionnelle, il choisit de traiter son sujet avec les outils stylistiques du cubisme et du futurisme. MoBY - musée Ryback, Bat Yam (Israël) Musée d' art et d'histoire du Judaïsme https://www.mahj.org/fr Hommage au Capitaine Dreyfuss Musée d' art et d'histoire du Judaïsme https://www.mahj.org/fr Crédits photo : Gérard Pocquet https://ainsiparlaitlart.blogspot.com  Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.com  Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu ...

Issachar Ber Ryback - Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - mahJ Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Issachar Ber Ryback Né en 1897 à Elizabethgrad (actuelle Kropyvnytskyï en Ukraine) et mort à Paris en 1935, Issachar Ber Ryback est un artiste majeur de la renaissance de l'art juif en Europe orientale, cherchant une expression spécifiquement juive, qui concilie tradition et modernité, comme le font El Lissitzky et Nathan Altman dans les mêmes années. Entre 1917 et 1923, ses œuvres se nourrissent des innovations du cubisme au service d'une iconographie marquée par l'art populaire et les lettres hébraïques. À Kiev, en 1919, Ryback participe à la création de la section artistique de la Kultur lige (Ligue de la culture), organisation juive laïque visant à promouvoir la culture yiddish. L'année suivante, dans la revue Oyfgang, il publie avec Boris Aronson un manifeste de l'avant-garde, dans lequel il défend un art conjuguant les traditions juives et les innovations picturales européennes pour exprimer une vision juive L'accrochage Ryback se poursuit dans la salle de...

Marc Chagall - Les Amoureux en gris - Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - mahJ Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Marc Chagall - Les Amoureux en gris Crédits photo : Gérard Pocquet https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Marc Chagall (Vitebsk, 1887 - Saint-Paul de Vence, 1985) Les Amoureux en gris 1916-1917 Huile sur papier marouflé sur toile Dépôt du musée national d'Art moderne - Centre Pompidou, don d'Ida Chagall, 1984, D.98 09.001.MNAM Peint dans l'année qui suivit son mariage avec Bella à Vitebsk, Chagall célèbre ici son amour dans des couleurs subtiles et légères, une atmosphère de rêve. Musée d' art et d'histoire du Judaïsme https://www.mahj.org/fr Hommage au Capitaine Dreyfuss Musée d' art et d'histoire du Judaïsme https://www.mahj.org/fr Crédits photo : Gérard Pocquet https://ainsiparlaitlart.blogspot.com  Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.com  Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - mahJ Musée d' art et d'histoire du Judaïsme Marc Chagall - Les Amoureux en gris - mahJ   https://ainsiparlaitlart.blogspot.co...

Emmanuel Mané-Katz - Extase 1936 - Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - mahJ Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Emmanuel Mané-Katz - Extase 1936 - mahJ Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Le Dibbouk à Paris Emmanuel Mané-Katz (1894-1962) Extase 1936 Huile sur toile Paris, Centre Pompidou, Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle, achat de l'État  en 1937 Mané-Katz passe sa jeunesse dans une atmosphère de religiosité qui nourrira son œuvre. S'affirmant comme le peintre de la culture yiddish, l'artiste représente ici trois hassidim qui cherchent à travers le chant et la prière la communion joyeuse avec Dieu et l'extase. Cette œuvre est entrée dans les collections publiques en 1937, année au cours de laquelle la troupe Habima joue Le Dibbouk à Paris à l'occasion de l'Exposition internationale. Son acquisition démontre l'intérêt porté par les musées au monde juif. Paris 1926 la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.co...

Paris 1926 la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine Exposition Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu - mahJ Musée d' art et d'histoire du Judaïsme

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Paris 1926 la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine Le Dibbouk - Fantôme du monde disparu https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Le Dibbouk à Paris À Paris, en 1926, la troupe Habima joue Le Dibbouk au théâtre de la Madeleine.  L'année suivante, la pièce est traduite en français, avec une préface d'Edmond Fleg, puis montée  par Gaston Baty au Studio des Champs-Élysées en 1928. Cette adaptation française est reprise avec succès en 1930 au théâtre Montparnasse. Antonin Artaud, qui découvre l'œuvre, note: « Dans une scène extraordinaire, [Léal parle avec la voix même de l'homme qui réclame ce qui lui a été destiné, c'est-à-dire la femme, c'est-à-dire elle-même I...! La voix avec laquelle cet être revendiquait son bien est l'une des choses les plus terribles que j'ai entendues.» En 1937, à l'occasion de l'Exposition internationale, Habima revient jouer à guichets fermés, à la Salle Pleyel. La troupe, installée à Tel-Aviv depuis 1928...