Français / English David Zwirner Exposition Gerhard Richter 20 October–20 December 2025 108, rue Vieille du Temple, Paris Press Release

Crédits photo : @gerardpocquet https://ainsiparlaitlart.blogspot.com 

David Zwirner a le plaisir d'annoncer une exposition de peintures, dessins et installations en verre 
du célèbre artiste allemand Gerhard Richter à la galerie parisienne. Il s'agit de la troisième exposition 
de l'artiste avec David Zwirner depuis l'annonce de sa représentation en 2023, après des présentations personnelles à New York (2023) et Londres (2024). Cette exposition coïncide avec une grande rétrospective de l'œuvre de Richter, organisée par Nicholas Serota et Dieter Schwarz à la Fondation 
Louis Vuitton à Paris, qui ouvrira ses portes le 17 octobre 2025.

Caractérisées par une impressionnante variété de portée, d'échelle et de technique, les œuvres présentées 
à David Zwirner mettent en lumière la compréhension approfondie de Richter de la peinture et son œuvre infiniment variée.
Une approche exploratoire du processus de création artistique lui-même. 
Dans ses Photographies (Fleurs, 1992), Torse (1997) et Petite Baigneuse (Petite Baigneuse, 1994), 
l'artiste utilise ses propres photographies, ainsi que des images trouvées dans des journaux, des magazines et des publicités, comme base de composition. Il floute ou obscurcit souvent l'imagerie qui en résulte, complexifiant ainsi la relation entre peinture et photographie et présentant une expérimentation conceptuelle de la traduction itérative et de l'interaction des médiums.
Les Peintures abstraites (Abstract Paintings) de Richter explorent les possibilités formelles 
et conceptuelles de la peinture sous un angle différent. Soigneusement construites et d'une composition hautement stratifiée, ces œuvres utilisent l'abstraction pour mettre en avant la présence physique 
de la peinture et de la couleur – une méthode de création artistique à la fois aléatoire et délibérément planifiée. Deux Peintures Abstraites de 2001 sont exposées, présentant des bandes entrecroisées de rose, de vert et de jaune doré éclatants. Avec leurs vastes plans de couleurs harmonieuses, ces œuvres contrastent avec les dernières huiles de Richter, réalisées entre 2015 et 2017, caractérisées par des marques énergiques superposées dans des formations dimensionnelles complexes. Ces peintures sont également juxtaposées à Paris à une Bande de quatre mètres de large de 2024 ; dérivées numériquement des Peintures Abstraites, les Bandes de Richter orchestrent un dialogue entre peinture, photographie, reproduction imprimée et abstraction. Sont également exposés des dessins récents de Richter, dont des œuvres inédites ainsi que des œuvres présentées lors de l'exposition « G erh ar d R i ch t er : 8 1 D rawi n gs , 1 S tri p p a i n t i n g , 1 E d i t i on » à la Staatliche Graphische Sammlung de Munich, en début d'année. 
Au fil des ans, le dessin est resté un élément fécond et significatif de la pratique de Richter. 
Ces œuvres, souvent réalisées à l'encre de couleur ou au graphite, lui permettent d'explorer un autre aspect du rôle de la main de l'artiste dans la création d'un récit pictural dynamique et abstrait.
L'exposition parisienne présente trois installations murales en verre de différentes dimensions, 
ainsi que 3 S ch ei b en (3 P anes of Glass, 2023), qui se présente sous la forme de trois panneaux de verre transparents et réfléchissants, placés verticalement dans un cadre métallique. 
Depuis 1967, avec la création de son installation phare 4 G l assch ei b en (4 Panneaux de Verre), 
Richter entretient une fascination analytique et diversifiée pour le verre, positionnant ce matériau 
de manière unique comme une réflexion littérale sur la peinture et la création d'images plutôt que comme une pure sculpture. L'expérience de contempler ces œuvres, ainsi que les images qu'elles recèlent, 
met en scène un paradoxe radical où la réalité est à la fois rendue indépassable par son reflet 
et sa distorsion physique, tout en étant parfaitement reproduite par une proximité indélébile avec le monde réel. Comme le soulignent Janice Bretz et Kerstin Küster, dans les œuvres en verre de Richter, 
« les visiteurs ne sont pas des spectateurs, mais des créateurs, et ils sont confrontés à la différence 
entre l'espace d'exposition réel et le reflet aléatoire de la réalité dans le verre… 
L'artiste invite l'artiste à réfléchir à la vision et à ce qui est perçu comme une réalité potentielle 
parmi d'autres. La vision est situationnelle, et la réalité dépend toujours du spectateur. »

1Gerhard Richter (né en 1932) est né à Dresde, en Allemagne. Il a étudié l'art à la Hochschule für Bildende Künste de Dresde de 1951 à 1956, la peinture murale étant son principal domaine d'étude. 
En 1959, il a visité la Documenta II, organisée à Cassel, en Allemagne de l'Ouest, une expérience 
qui l'a incité à modifier sa trajectoire artistique. Après sa fuite d'Allemagne de l'Est en 1961, 
il a suivi un second cycle d'études à la Staatliche Kunstakademie de Düsseldorf. 
Là, il s'associe à ses camarades Sigmar Polke, Konrad Lueg (plus tard connu sous le nom de galeriste Konrad Fischer) et Manfred Kuttner pour former collectivement le groupe éphémère 
du « réalisme capitaliste ».
À partir de 1964, Richter a bénéficié de nombreuses expositions personnelles dans des galeries et musées renommés du monde entier. Sa première exposition personnelle dans une institution publique a eu lieu 
au Gegenverkehr, Zentrum für aktuelle Kunst, à Aix-la-Chapelle, en Allemagne de l'Ouest, en 1969. 
En 1972, il a été sélectionné comme seul artiste à représenter l'Allemagne au pavillon national 
de la Biennale de Venise. 
Richter a exposé à la Documenta plus de fois que tout autre artiste (1972, 1977, 1982, 1987, 1992, 1997, 2007 et 2017).
L'œuvre de Richter a été présentée lors de nombreuses expositions personnelles et rétrospectives 
dans d'importantes institutions du monde entier, notamment au Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen, à Düsseldorf (1971, 1986), à la Kunsthalle de Brême, en Allemagne de l'Ouest (1975) 
et à la Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen, à Düsseldorf (1977, 1988). Centre Pompidou, 
Paris (1977, 2012) ; Städtische Kunsthalle, Düsseldorf (1986) ; Neue Nationalgalerie, Staatliche Museen de Berlin (1986, 2012) ; Hirshhorn Musée et jardin de sculptures, Washington, DC (1988, 2003) ; 
Musée d'art moderne de San Francisco (1989, 2002) ; Tate, Londres (1991, 2011) ; Musée Moderna, Stockholm (1993) ; Institut d'art de Chicago (2002); Le Musée d'Art Moderne de New York (2002) ; Galerie d'art du Queensland, Brisbane (2017) ; Le Met Breuer, New York (2020) ; et Musée national d'art moderne de Tokyo (2022). 
En avril 2023, la Neue Nationalgalerie de Berlin a inauguré l'exposition « Gerhard Richter : 
100 œuvres pour Berlin ». Cette présentation exceptionnelle et de longue durée présente des œuvres prêtées au musée par la Fondation Gerhard Richter en 2021, notamment le cycle de peintures abstraites grand format « Birkenau » (2014). Richter a reçu de nombreux prix prestigieux, parmi lesquels 
le Kunstpreis Junger Westen, Kunsthalle Recklinghausen, Allemagne de l'Ouest (1967) ; 
le Arnold-Bode-Preis, Kassel, Allemagne de l'Ouest (1982) ; le Oskar-Kokoschka-Preis, Vienne (1985) ; 
le Goslarer Kaiserring, Goslar, Allemagne de l'Ouest (1988) ; le Lion d'or à la 47e Biennale de Venise (1997) ; Prix ​​Praemium Imperiale, Association japonaise d'art, Tokyo (1997) ; Prix Wexner, 
Centre Wexner pour les arts, Columbus, Ohio (1998) ; Membre honoraire étranger de l'Académie américaine des arts et des lettres, New York (1998) ; Prix d'État du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Düsseldorf (2000) ; et Prix d'art et de culture des cathédrales allemandes, Conférence épiscopale allemande, Bonn (2004). En 2007, Richter a été fait citoyen d'honneur de Cologne et, 
la même année, il a conçu un vitrail spectaculaire pour la cathédrale de Cologne.

David Zwirner a commencé à représenter l'artiste en 2023. La même année, la galerie a présenté 
à New York une exposition personnelle d'œuvres abstraites récentes de Richter. Cette présentation 
était accompagnée d'un catalogue entièrement illustré et d'un essai inédit de Dieter Schwarz. 
Début 2024, une exposition personnelle de Richter a été présentée à la galerie David Zwirner de Londres. Parmi les expositions précédentes organisées par la galerie à New York, citons : Gerhard Richter : Impressions et multiples 1966–1993 (1994), Gerhard Richter : Peintures de jeunesse (2000) 
et Paysages (2004). Les œuvres de l’artiste sont conservées dans d’importantes collections publiques 
et privées à travers le monde. Richter vit et travaille à Cologne.

Notes :
1. Janice Bretz et Kerstin Küster, « Transparent et reflété : Miroirs, verre et bandes », dans Gerhard Richter : Abstraction. Cat. d'expo. (Potsdam : Musée Barberini, 2020), p. 198.
Pour toute demande de presse, veuillez contacter :
Mathieu Cénac mathieu@davidzwirner.com
Philippe Fouchard-Filippi phff@fouchardfilippi.com

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Galerie David Zwirner Paris
Crédits photo : @gerardpocquet https://ainsiparlaitlart.blogspot.com  

David Zwirner is pleased to announce an exhibition of paintings, drawings, and glass installations 
by renowned German artist Gerhard Richter at the gallery ’s Paris location. This is the artist’s third show with David Zwirner since the announcement of his representation in 2023, following solo presentations 
at the gallery ’s locations in New York (2023) and London (2024). The exhibition coincides with a major
retrospective of Richter’s work curated by Nicholas Serota and Dieter Schwarz at the Fondation Louis
Vuitton in Paris, opening on 17 October 2025.
Characterized by an impressive variation in scope, scale, and technique, the works on view at David
Zwirner collectively highlight Richter’s expansive understanding of the painted medium and his endlessly
investigative approach to the process of artmaking itself. In his F ot ob i l d er (P h ot o P ai nt i n gs)—such as B l umen (F l owers, 1992), T orso (1997), and K l . B ad end e (S mal l B at h er, 1994)—the artist employs his own photographs, as well as images found in newspapers, magazines, and advertisements, 
as a compositional basis. He often blurs or otherwise obfuscates the resultant imagery, thus complicating the relationship between painting and photography and presenting a conceptual experiment with the
iterative translation and interplay of mediums.
Richter’s A b st rak t e B i l d er (A b st ract P ai nt i n gs) explore painting’s formal and conceptual possibilities from another angle. Carefully constructed and highly stratified in composition, these works use abstraction to foreground the sheer physical presence of paint and color—a method of artistic creation that is aleatory yet deliberately planned. On view are a pair of A b st ract P ai nt i n gs from 2001 
that feature intersecting swaths of vibrant pink, green, and golden yellow. With their expansive planes 
of harmonious color, theseworks stand in contrast to Richter’s last oil paintings from 2015 to 2017, 
which are  characterized byenergetic markings laid atop one another in intricate, dimensional formations. These paintings are further juxtaposed in Paris with a four-meter-wide S t ri p painting from 2024; digitally derived from the A b st ract P ai nt i n gs, Richter’s S t ri ps orchestrate a dialogue between painting, photography, print reproduction, and abstraction.

Also exhibited are recent drawings by Richter—including new works as well as ones that were featured 
in the exhibition G erh ar d R i ch t er: 8 1 D rawi n gs , 1 S t ri p P ai nt i n g , 1 E d i t i 
on at the Staatliche Graphische Sammlung, Munich, earlier this year. Throughout the years, the medium 
of drawing has remained a fruitful and significant element of Richter’s practice. 
These works—often made with colored ink or graphite—allow him to explore another aspect of the role 
of the artist’s hand in the creation of a dynamic and abstract pictorial narrative.
The exhibition in Paris features three wall-mounted glass installations of varying dimensions, 
as well as 3 S ch ei b en (3 P anes of G l ass, 2023), which takes the form of three transparent, reflective glass panes that stand upright within a metal frame. Since 1967, with the creation of his landmark installation 4 G l assch ei b en (4 P anes of G l ass), Richter has maintained an analytical and wide-ranging fascination with glass, uniquely positioning the material as a literal reflection on painting and imagemaking rather than as a form of pure sculpture. The experience of beholding these works—along with the images seen on their surfaces—enacts a radical paradox in which reality is both rendered impassable through its physical mirroring and distortion, while also being perfectly emulated with an indelible proximity to the real world. As Janice Bretz and Kerstin Küster note, in Richter’s glass works,
“visitors are not spectators but creators, and they are confronted with the difference between the real exhibition space and the random reflection of reality in the glass.… It is an invitation from the artist to think about seeing and what is seen as one potential reality among many. Seeing is situational, and reality always depends on the viewer.”
1
Gerhard Richter (b. 1932) was born in Dresden, Germany. He studied art at the Dresden Hochschule 
für Bildende Künste from 1951 to 1956, with mural painting as his main area of study. In 1959, 
he visited Documenta II, held in Kassel, West Germany, an experience that inspired him to alter his artistic
trajectory. After his escape from East Germany in 1961, he completed a second course of study 
at the Staatliche Kunstakademie in Düsseldorf. There, he united with fellow students Sigmar Polke, Konrad Lueg (later known as the gallerist Konrad Fischer), and Manfred Kuttner to collectively form the
short-lived “capitalist realism” group.

From 1964 onward, Richter has had many solo exhibitions in renowned galleries and museums
worldwide. The artist’s first solo exhibition in a public institution was held at the Gegenverkehr, Zentrum
für aktuelle Kunst, in Aachen, West Germany, in 1969. In 1972, he was selected as the only artist 
to represent Germany in its national pavilion at the Venice Biennale. Richter has exhibited at Documenta
more times than any other artist (1972, 1977, 1982, 1987, 1992, 1997, 2007, and 2017).
Richter’s work has been presented in numerous solo shows and retrospective exhibitions at important
institutions worldwide, including the Kunstverein für die Rheinlande und Westfalen, Düsseldorf (1971,
1986); Kunsthalle Bremen, West Germany (1975); Centre Pompidou, Paris (1977, 2012); Städtische
Kunsthalle, Düsseldorf (1986); Neue Nationalgalerie, Staatliche Museen zu Berlin (1986, 2012); Hirshhorn
Museum and Sculpture Garden, Washington, DC (1988, 2003); San Francisco Museum of Modern Art
(1989, 2002); Tate, London (1991, 2011); Moderna Museet, Stockholm (1993); Art Institute of Chicago
(2002); The Museum of Modern Art, New York (2002); Queensland Art Gallery, Brisbane (2017); 
The Met Breuer, New York (2020); and The National Museum of Modern Art, Tokyo (2022). In April 2023, the Neue Nationalgalerie in Berlin opened G erh ar d R i ch t er: 1 0 0 W ork s f or B erl i n. 
This special long-term presentation features works that the Gerhard Richter Foundation gave to the museum on permanent loan in 2021, including Richter’s B i rk enau (2014) cycle of large-scale abstract paintings.
Richter has been honored with a number of significant awards, among them the Kunstpreis Junger
Westen, Kunsthalle Recklinghausen, West Germany (1967); Arnold-Bode-Preis, Kassel, West Germany
(1982); Oskar-Kokoschka-Preis, Vienna (1985); Goslarer Kaiserring, Goslar, West Germany (1988); Golden Lion at the 47th Venice Biennale (1997); Praemium Imperiale Award, Japan Art Association, Tokyo (1997);
Wexner Prize, Wexner Center for the Arts, Columbus, Ohio (1998); Foreign Honorary Membership 
of the American Academy of Arts and Letters, New York (1998); Staatspreis des Landes Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf (2000); and the Kunst- und Kulturpreis der deutschen Katholiken, Deutsche
Bischofskonferenz, Bonn (2004). In 2007, Richter received honorary citizenship in Cologne, 
and in the same year, he designed a spectacular stained-glass window for the Cologne Cathedral.
David Zwirner began representing the artist in 2023. The same year, the gallery presented a solo
exhibition in New York of new and recent abstract works by Richter. The presentation was accompanied
by a fully illustrated catalogue with a new essay by Dieter Schwarz. In early 2024, a solo exhibition 
of Richter’s work was on view at David Zwirner London. Prior exhibitions organized by the gallery in New York include G erh ar d R i ch t er: P ri nt s & M ul t i pl es 1 9 6 6–1 9 9 3 (1994), G erh ar d R i ch t er: E arl y P ai nt i n gs (2000), and G erh ar d R i ch t er: L and sca pes (2004). The artist’s work is held in important public and private collections worldwide. Richter lives and works in Cologne.

Notes:
1. Janice Bretz and Kerstin Küster,
“Transparent and Reflected: Mirrors, Glass, and Strips,” in G erh ar d R i ch t er: A b st ract i on. Exh. cat. (Potsdam: Museum Barberini, 2020), p. 198.

For all press inquiries, contact:
Mathieu Cénac mathieu@davidzwirner.com
Philippe Fouchard-Filippi phff@fouchardfilippi.com

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