Ainsi Parlait l'Art. L'art Universel.
L' art universel et singulier. L' art d' ici et d'ailleurs.
Là, où mon œil de chair, mon œil de raison et mon œil de contemplation me conduit, m'attire.
Bien sûr, Ainsi Parlait l' Art est tiré du titre du livre Ainsi parlait Zarathoustra de Frederich Nietzsche
Juliette au Printemps un film de Blandine Lenoir, co-scénariste Maud Ameline
avec Izïa Higelin, Sophie Guillemein, Jean-Pierre Darroussin et Noémie Lvovsky
D'après la bande dessinée "Juliette, les fantômes reviennent au printemps" de Camille Jourdy publiée chez Actes Sud. Après "Rosalie Blum" en 2016, "Juliette, les fantômes reviennent au printemps" est la deuxième de ses BD, à être portée au cinéma.
Camille Jourdy et Blandine Lenoir ont écrit les dialogues ensemble.
Un film chorale, pour Jean-Pierre Darroussin, "c'est du Tchekov!" a-t-il dit Blandine Lenoir après avoir vu le film. Un" écriture au féminin, un film féministe, tout en douceur. Les hommes y sont représentés,
des hommes sentimentaux, des taiseux, mais, qui ont le geste élégant.
La narration se développe autour du non dit, de l'évitement de la parole, du deuil, de l'amour,
de la sexualité à tous les âges, la maternité, la pudeur.
Juliette (Izïa Higelin: tout en retenue, sensible, forte et fragile, un regard sur les choses de la vie à peine sortie de l'enfance), trentenaire, n'a plus ses règles depuis un certain temps, en légère dépression;
elle part rejoindre sa famille afin de retrouver des bras de consolation, une épaule attendrissante.
Marylou (Sophie Guillemein), la grande sœur hyper active, mariée, deux enfants, frustrée dans sa vie
de couple, nous dévoile une sexualité joyeuse dans la serre avec son amant, tous deux nus aux formes rondes et voluptueuses, digne des peintures de Botero.
Jean-Pierre Darroussin qui interprète Léonard, le père de Juliette; à chaque apparition, sa présence rayonne tout en pudeur, les yeux rieurs vous enveloppe de tendresse. Il est magnifique dans la scène
où il ressent les années d'antan lorsqu'il chante tout seul.
Un grand moment d'interprétation d'expériences vécues.
Noémie Lvosky (la mère) qui s'est réfugiée dans une vie débridée, excessive.
Salif Cisssé (Pollux) dans le rôle de l'ami serein, écoute Juliette "dans sa dimension tragique", métaphore de la dépression.
Bertrand Belin, auteur-compositeur-interprète orchestre la B.O.
Bertrand Belin retrouve Blandine Lenoir après "Zouzou" (2014), "Aurore" (2017), "Annie Colère" (2022). La musique apparaît à des moments dédiés, pour des respirations dans un film très dialogué,
tout en invitant à entrer dans l’intimité des personnages.
Le compositeur retrouve sa casquette de chanteur pour une chanson du générique de fin.
Aussi, Jean-Pierre Daroussin fredonne à l'image sur le titre "Le pieu (L'estaque)" de Marc Robine.
Juliette, jeune illustratrice de livres pour enfants, quitte
la ville pour retrouver sa famille quelques jours : son
père si pudique qu’il ne peut s’exprimer qu’en blagues,
sa mère artiste peintre qui croque la vie à pleines dents,
sa grand-mère chérie qui perd pied, et sa sœur, mère de
famille débordée par un quotidien qui la dévore. Elle
croise aussi le chemin de Pollux, jeune homme poétique
et attachant.
Dans ce joyeux bazar, des souvenirs et des secrets vont
remonter à la surface.
« THE WHALE » un film de Darren Aronofsky d’après la pièce écrite par le dramaturge Samuel D. Hunter. La pièce a pour origine la propre expérience de l’auteur, son obésité lorsqu’il était étudiant, maladie qui touche plus de 40 % des américains. D’une forte intensité dans la profondeur de la condition humaine jusqu’à l’espoir de la rédemption, le film nous offre un pont, nous projette dans l’intelligence émotionnelle, d’humour et de colère des acteurs. Comme un écho, derrière le jeu de Breden Fraser (la révélation), résonne toute la complexité de la condition humaine. Dans ce film qu’il considère comme le rôle de sa vie, il réussit une transformation physique et psychologique. Cinq jours pour renouer avec sa fille de 17 ans incarnée par Sadie Sink pleine de rancœur et de violence qui nous propose une magnifique interprétation. Le fil conducteur est de dire la vérité, d’être sincère avec soi-même et avec les autres. La performance du film, de breden Fraser et Sadie Sink, Hong...
« MARLOWE » un film de Neil Jordan, durée 1h49, dans la catégorie Fiction, Policier, Thriller. D’après le livre « La Blonde aux yeux noirs » de John Banville. Avec Liam Neeson (son 100 ème film) qui reprend le rôle de Philip Marlowe après Robert Mitchum, Diane Kruger (Clare Cavendish) est inspirée par le style vestimentaire de Marlène Dietrich, et, Jessica Lange (la mère richissime, ancienne star et gloire du cinéma: Dorothy Cavendish). L’ambiance d’Edward Hopper est présente dans la photographie des décors (John Beard), de la lumière, des couleurs. Tourné en Espagne, la principale qualité du film se situe dans la reconstitution de l’univers des années 30; transformé Barcelone de 2021 en Los Angeles 1939. Les acteurs sont bavards, beaucoup de circonvolution. Le rythme de la narration est lent jusqu’à un sentiment d’endormissement . Heureusement, la musique de David Holmes tient en éveil. V...
"Cinq Siècles d' Or" de Marie DAUVERGNE Artiste Peintre Marie DAUVERGNE Artiste Peintre Née à Amboise, j'ai très vite été attirée par la richesse artistique des châteaux de la Loire, ce qui m'a conduit après mon bac à étudier à l'école des Beaux Arts de Tours. Ne me sentant pas assez libre dans la peinture figurative je me suis rapidement tournée vers l'abstraction, évoluant vers l'abstraction géométrique qui traduit fidèlement la poésie de mon monde intérieur. Actuellement mon besoin de recherches artistiques me conduit à fusionner ma peinture et le collage, la beauté et la féminité étant mes fils conducteurs, Ma peinture s'exprime dans l'abstraction géométrique. Les compositions de Josef Albers, de Victor Vasarely, de Frank Stella et les subtiles nuances des bleus de Geneviève Asse m'ont inspirée dans ma démarche artistique. Je peins à l'acrylique sur toile enduite, dont je prépare la surface pour obtenir des finitions soignées. L...
La Peinture et la Sculpture présentant le médaillon de Louis XIV (roi de France de 1643 à 1715 ) Jacques PROU Paris 1655 Paris 1706 Agréé à l'Académie royale en 1680, reçu en 1682. Ce morceau de réception, faisant partie de la deuxième série consacrée à des allégories en l'honneur du roi, fut présenté à l' Académie royale de peinture et de sculpture le 2 juin 1682. Louvre Paris https://www.louvre.fr/
Lorena Kappes Artiste Aquarelle, Atelier, Santiago, Chili Je suis graphiste, diplômée en art de l'Université Pontificale Catholique. Avec des études en Gravure Escola Massana Barcelone Espagne. J'étais étudiante dans l'atelier d'aquarelle de Lea Kleiner. En design, j'ai appris à utiliser la synthèse et l'abstraction pour communiquer des idées et des observations. Ensuite, j'ai obtenu mon diplôme d'Art avec mention peinture, où j'ai appris la technique de l'aquarelle, une technique qui me représente totalement par sa gestuelle, sa spontanéité et sa transparence. Je travaille avec la technique mouillé sur mouillé sur papier coton et dernièrement en techniques mixtes. J'aime la photographie et le trekking, support à partir duquel toutes mes œuvres partent. J'enregistre la nature, la saisonnalité de la flore, les traces du temps, la tonalité, etc. dans l'objectif. Je donne des cours d'aquarelle dans mon atelier, avec une approche a...
Commentaires