"MÉMOIRES DE L' OLYMPIA" Théâtre musical de Tito Clément mise en scène Laurent Malot

MÉMOIRE(S) DE L’OLYMPIA 

du 11/07/25 au 31/08/25

Le mythe de l’Olympia dévoilé en anecdotes et en chansons.

En ce jeudi 13 novembre 1997, on inaugure le «nouvel Olympia» après 7 mois de travaux. 

Cependant, la servante a disparu.

Cette lumière sur pied qui reste allumée et veille sur la salle lorsqu’elle est désertée.

Depuis son atelier dans le sous-sol, Stanislas, l’agent de maintenance depuis 1954, témoin de l’ombre, entreprend d’en fabriquer une nouvelle. 

Tout en confectionnant l’objet symbolique, il lui transmet l’histoire de l’Olympia en revivant ses grandes heures.

De Tito Clément,
mise en scène Laurent Malot,
avec Tito Clément, Bernard Menu et François Bernat, création lumières Joël Legagneur,
production compagnie Life Live.
Durée 1h20.

LE FUNAMBULE Théâtre Montmartre

53, rue des Saules, Paris 75018. Métro 4 et 12

www.funambule-montmartre.com / 01.42.23.88.83

Histoire de Paris

L'Olympia

En 1888, Joseph Oller, fondateur du Moulin-Rouge, installa à cet emplacement des Montagnes Russes;
en dépit de leur popularité, elles furent fermées en 1898 par la Prefecture de Police, qui les jugeait dangereuses.
Oller fit alors construire une salle de spectacles dont le decor intérieur évoquait une "Olympe vue 

à travers la lorgnette de Meilhac et Halévy,- 400 m2 d'Offenbach à l'aquarelle".
Ce premier "Music-Hall" de Paris offrait des numéros de cirque, des ballets, des opérettes et des tours 

de chant où s'illustrèrent la belle Otero, Liane de Pougy ou la Goulue; Mistinguette, Max Linder, Maurice Chevalier, Damia ou le clown Grock leur succédèrent.
Salle de cinéma à partir de 1928, l'Olympia rouvrit ses portes en 1954, sous la direction de Bruno Coquatrix.
Entièrement réaménagé, doté de 2 000 places, ce music-hall représente désormais un lieu de consécration pour de nombreux artistes, - français ou étrangers.

En Préambule 

L’Olympia : plus qu’une salle, un MYTHE

L’Olympia est, pour tous les Français, ce lieu mythique où sont nés à la lumière, les plus grands artistes populaires 

du XXeme siècle.

Les paroles, les mélodies que beaucoup d’entre eux ont fredonnées lors des moments heureux de leurs vies,

 sont aussi souvent liées aux émotions les plus profondes, les plus intimes. 

Une simple visite de cette salle, révèle la présence encore si prégnante de tous ces artistes qui, un jour ont douté, lutté et triomphé ici. 

Chaque parcelle de l’espace vibre encore des cris et des applaudissements d’hommes et de femmes transportés 

de bonheur…

A quoi peut rêver un jeune chanteur qui, depuis l’adolescence, se nourrit de chansons et de musique 

et dont tous ces immenses artistes sont les modèles ? D’un spectacle ! 

Un spectacle qui les réunirait tous, ces aimés, ces maîtres. Et doucement, fermement, le rêve s’est imposé, matérialisé sous la forme d’un projet magnifique,parce que né d’une passion vraie. L’obstination, le travail, 

la volonté et la confiance dans la qualité de ce projet, ont permis d’envisager de passer maintenant à la phase de réalisation.

Synopsis
Nous sommes le jeudi 13 novembre 1997, 28 Boulevard des Capucines, Paris IX°. 

Ce soir, on inaugure le «nouvel Olympia» après 7 mois de travaux de démolition et une reconstruction 

à l’identique.
Cependant, la servante a disparu. Cette lumière sur pied, présente dans chaque théâtre, 

qui reste allumée et veille sur la salle lorsqu’elle est désertée.
Beaucoup de symboles sont attachés à cet objet.
Notamment, chasser les mauvais esprits ou encore, conserver la mémoire et l’âme des lieux.
Depuis son atelier dans le sous-sol, Stanislas, l’agent de maintenance depuis 1954, témoin de l’ombre,
entreprend d’en fabriquer une nouvelle, car pour lui, il est hors de question que la salle reste 

dans le noir. Tout en confectionnant l’objet symbolique, il lui transmet l’histoire de l’Olympia en revivant
les grandes heures de ce lieu mythique au travers d’anecdotes, de chansons et de medleys. 

Ainsi chargée de la mémoire du passé, après le spectacle, quand la salle sera vide, la servante pourra remplir sereinement sa mission.
En 1954, Bruno Coquatrix reprenait la direction de l’Olympia, qui était devenu un cinéma après la crise 

de 29, et lui rendait sa fonction initiale de Music-Hall.
A ses côtés, son neveu, Jean-Michel Boris. Tous deux amoureux et passionnés des artistes. 

Leur vision et leur détermination ont permis à l’Olympia de marquer d’une empreinte indélébile 

la grande histoire de la chanson française et d’être pour le monde entier, encore aujourd’hui, bien plus qu’une salle de spectacle : un mythe.
Le mythe dévoilé...

Ainsi Parlait l' Art. L' Art Universel.
L' Art Sacré.
L' Art Singulier, d' Ici et d'Ailleurs. 
L'Art de Marque Qui se Démarque.
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