Ainsi Parlait l' Art By Gérard

 Two consoles decorared with acanthus leaves and dog's heads. From the park of the Château de Marly (near Paris), the Nymph fountain,  pedestal of Anselme Flamen's Companion of Diana  Marble, about 1713 - 1715  Deux consoles ornées de feuilles d'acanthe et d'une tête de chien  Jean HARDY  Nancy, 1653 Versailles 1737  Proviennent du parc du château de Marly (environs de Paris), Fontaine de la Nymphe,  piédestal de la Compagne de Diane d' Anselme Flamen. Marbre, vers 1713-1715 Louvre Paris https://www.louvre.fr/

 Deux consoles ornées de feuilles d'acanthe et d'une tête de chien  Jean HARDY  Nancy, 1653 Versailles 1737  Proviennent du parc du château de Marly (environs de Paris), Fontaine de la Nymphe,  piédestal de la Compagne de Diane d' Anselme Flamen. Marbre, vers 1713-1715 Louvre Paris https://www.louvre.fr/

« SIMONE, le voyage du siècle » un film d’Olivier DAHAN. Ce n’est pas un biopic, mais un portrait cinématographique d’une histoire, celle de Simone Veil (Rebecca Marder, rôle à des âges de 15, 21 et 36 ans et Elsa Zylberstein, rôle à partir de 39 ans),  l’histoire d’un pays. Tourné à Budapest où les camps d’ Auschwitz et de Bergen Belsen ont été reconstitués. Sa mère (Élodie Bouchez), morte en camps de concentration est au cœur de sa vie, c’est sa vraie force.  Milou (Judith Chemla), sa sœur, morte dans un accident de voiture, sera considérée comme sa deuxième mort.  En sortant à 17 ans des camps de concentration, Mme Simone Veil a vaincu sa peur   « j’ai survécu à pire que vous » pour s’adapter et survivre.  Un récit de devoir de mémoire pour les jeunes générations.  Nous pensions tout connaître de sa vie, mais, nous prenons connaissance  de son statut de magistrate, de sa haine pour l’injustice, de son engagement en faveur des conditions  de détention pl

 Painting and Sculpture Presenting a Medaillon of King Louis XIV (reigned 1643 - 1715), 1682 Marbre Jacques PROU Paris 1655 Paris 1706  Agréé à l'Académie royale en 1680, reçu en 1682. This reception piece, part of a second series dedicatedto allegories in honour of the king, was presented to the Royal Academy of Painting and Sculpture on 2 June 1682. Collections de l' Académie royale. Saisie révolutionnaire, 1793. Dépôt de Nesle, 1796 Versailles, musée spécial de l' École française, 1798. Entré au Louvre, 1849 MR 2775 Louvre Paris https://www.louvre.fr/

 La Peinture et la Sculpture présentant le médaillon de Louis XIV (roi de France de 1643 à 1715 ) Jacques PROU Paris 1655 Paris 1706  Agréé à l'Académie royale en 1680, reçu en 1682.  Ce morceau de réception, faisant partie de la deuxième série consacrée à des allégories en l'honneur  du roi, fut présenté à l' Académie royale de peinture et de sculpture le 2 juin 1682. Louvre Paris https://www.louvre.fr/

 The Lamentation of Christ about 1700 From the church of Saint-Roch in Paris Marbre. This low-relief sculpture depicts the Virgin Mary meditating before the body of Christ, help by Saint John. It was made by François Barois the year he was received into the Royal Academie of Painting and Sculpture. The  work was displayedin the Musée des Monuments Français, fonded by Alexandre Lenoir. Musée du Louvre. François BAROIS Paris 1656 Paris 1728

 La Déploration du Christ vers 1700 Provenant de l' église Saint-Roch à Paris Marbre. Représentant la méditation de la Vierge devant le corps mort du Christ soutenu par Saint Jean, ce bas-relief a été exécuté par le sculpteur François Barois, l'année de sa réception à l'académie de peinture et de sculpture. Il a figuré au musée des Monuments français formé par Alexandre Lenoir. Musée du Louvre. François BAROIS Paris 1656 Paris 1728

« Whitney Houston : I Wanna Dance with Somebody » réalisé par Kasi Lemmons écrit par Anthony McCarten produit par le légendaire Clive Davis et interprétée par  Naomi Ackie, lauréate du BAFTA Award. Un film où les chansons collent à sa vie, une quête familiale, « à danser avec quelqu’un qui l’aime ». Clive Davis (90 ans) affirme que « Whitney Houston était sans doute la plus grande chanteuse de notre époque contemporaine ». Tout Whitney Houston, soit 22 chansons à entendre sa voix, l’artiste qui voulait tout simplement chanter.Whitney est la Voix ! Elle interprètre magistralement « Impossible Medley » - Loves, You, Porgy – And I Am Telling You I’m Not Going et I Have Nothing, lors des American Music Awards en 1994. Et, avec Bodyguard de  Kevin Costner, la bande son la plus lucrative au monde, Whitney Houston reçoit son Grammy et remercie Maureen Crowe pour la présentation de Will Always Love You à Kevin Costner. Le film s’essouffle un peu, mais un super hommage.  

© Photo Pocquet Gérard  https://ainsiparlaitlart.blogspot.com Huile sur toile. Collection De Carbon L'Union de la Peinture et de la Sculpture (1663) Marbre The Union of Painting and Sculpture  Deux jeunes femmes échangent un geste amical. Celle de gauche,  s'appuyant sur un torse antique, symbolise la sculpture, celle de droite, pinceaux à la main et accompagnée d'un génie portant une palette, la Peinture. Ce morceau de réception, faisant partie de la deuxième série consacrée à des allégories en l'honneur de Louis XIV ( roi de France de 1643 à 1715), fut représenté à l' Académie royale de peinture et de sculpture le 2 juin 1663 Musée du Louvre. Jacques BUIRETTE Paris 1631 Collection de l' Académie royale. Saisie révolutionnaire, 1793. Versailles, musée spécial de l' École française, Louvre entré en 1849   © Photo Pocquet Gérard  https://ainsiparlaitlart.blogspot.comLa Barque et le Pêcheur, le Pantalon rouge, 1984 Gérard Garouste Huile sur toile. Collection D

« L’IMMENSITA » d’Emanuele Crialese. Un film personnel, un voyage dans la mémoire des souvenirs. L’Immensita est un drame familial et, sans thématiser, sur la complexité d’identité de genre d’une fille qui se sent garçon (rôle Adri interprétée par Luana Giuliani adepte de sports dits « masculins ». Luana est championne de supermoto, discipline ou elle affronte des garçons, deux traits de caractère du personnage : ténacité et courage ). Très belles prises de vues de portrait de Luana Giuliani et de Penélope Cruz. Selon les dires d’Emanuele Crialese : « je pense que la force de l’interprétation de Penélope Cruz tient aussi à cette volonté de perdre le contrôle ». Le scénario   pendant le tournage s’égare et Penélope Cruz (intuitive et rationnelle) travaille « sans filet » et se laisse posséder par quelque chose qui la dépasse.  Et les personnages se perdent ainsi que la narration. Au sortir du film, on se demande où se situe l’idée force du film.

« Les Cyclades » un film de Marc Fitoussi. Une comédie ciel bleu et soleil à Amorgos, l’île du Grand Bleu, pour un duo graphique,  une petite pulpeuse Laure Calamy en blonde et une grande maigre Olivia Côte,  qui joue un contre emploi, en souffrance de divorce. Laure Calamy se conforte à merveille  dans son rôle d’adolescente rebelle. Un petit clin d’œil à Kristin Scott Thomas.  L’idée du film : leur faire revivre leur passion de jeunesse.  Ça fonctionne, et l’on passe un bon moment.  

  « LES BANSHEES D’INISHERIN »,     une tragie-comédie noire du réalisateur Martin McDonagh, une signature.  Un casting irlandais de choix Colin Farrell, Brenda Gleeson et Kerry Condon. 15 mn de standing ovation à la Mostra de Venise, c’est la récompense de ce drame universel et singulier qui fera ses entrées de bouche à oreille.  Le film reçoit la Coupe Volpi de la Meilleure Interprétation Masculine et le Prix Osella du Meilleur Scénario. Une histoire d’une fable de l’absurde où les rires jaillissent. Dans la mythologie celtique irlandaise, une « banshee « est une fée ou magicienne dont le cri est présage de mort. La faucheuse rode tout au long de ce long métrage. 1923, dans l’ouest de l’Irlande, les paysages sont des personnages pour le décor de cette île fictive Inisherin. Intemporel et réel pour la photographie. Cette esthétique met en majesté l’isolement, l’immensité, l’éloignement de la civilisation. Un duo (Colin Farrell, Brenda Gleeson) et une dualité catast

  «  NOSTALGIA »,  un film de Mario Martone.  «  La connaissance est dans la nostalgie, qui ne s’est pas perdu ne possède pas » Pier Paolo Pasolni . D’après un fait divers du livre « Nostalgia » d’Ermanno Rea. La caméra suit le labyrinthe de rues du quartier de Rione Sanità à Naples où l’âme de Felice (Pierfrancesco Favino) a rendez-vous avec son destin après quarante de vie au Caire. Après s’être quitté à l’âge de 15 ans, le scénario narre le jeu du chat «  Oreste » (Tommaso Ragno ) qui s’amuse avec une pelote de laine « Felice Lasco ». Deux scènes intenses d’acteurs à souligner : la première Felice   et sa mère (Aurora Quattrocchi 79 ans), et, la seconde, prise spontanément, la rencontre de l’inattendu d’ Oreste et de son ami d’enfance Felice après 40 ans. Quelques flash-backs. L’être humain n’est-il toujours pas atteint de nostalgie, de regarder les quarante de sa vie passée, de les soupeser, et d’en mesurer les conséquences. «  Il n’existe ni passé, ni futur. S